mercredi 26 décembre 2007

Des phrases des phrases et des phrases...

J'ai pris l'habitude d'extaire des bouts de répliques de films que j'apprécie ou non. Il n'y a pas vraiment de but à ça sauf peut-être, faire des blind tests. J'en ai saoulé plus d'un avec ça en fin de soirée...
Si le player ne fonctionne pas chez vous, hé béh tans pis. La mise en plaçe du lecteur ( Dewplayer ) n'est pas trop trop compliqué, mais apparement, il fonctionne quand il veut... Et pourtant j'ai cherché..!
Bref... à vous de juger.


Bernie





Las Vegas parano











He mec elle est ou ma caisse



Dawn of the dead








Human traffic





Tueurs nés



C’est arrive près de chez vous


La cite des enfants perdus





lundi 24 décembre 2007

De temps à autre j'écris des trucs...

Amusements d’humeur

La jeunesse rencontre la vie
Et voit ce dont elle se souviendra
L’envie parmi une plénitude accomplie
Passe son chemin et puis s’en va

L’amour si peu souvent présente
Virevolte et rigole selon les ames
La mort est là qui les hante
Angoisse de toujours qui en émane

C’est le spectacle du monde intérieur
Qui ce fait lui-même sa petite frayeur
Profitez-en ! Il n’est pas là pour longtemps

Son langage est celui de notre nature
Mais pour le comprendre nous ne sommes pas mure
Ou déjà pourri. Il dépend du temps


Instants…

Deux blondes accoudées à leur table, leur café fumant au bord des lèvres. Le vieux qui est entré doit puer car elles se sont bouchées le nez lorsqu’il est passé à leur hauteur. Ce même vieux maintenant les regarde d’un œil livide. Il doit se les imaginer nues voyant l’intérêt qu’il porte à leur physique. Elles, restent indifférentes, feignant de ne pas le voir. Il se lève, va au bar pour régler, jetant un bref coup d’œil circulaire et, enfin s ‘en va…

Un autre moins vieux profite du fait que l’une des deux reste seul pour lui sourire. Il a l’air gêné mais, tout de même insistant. Il est risible tant il fait semblant de lire son journal. Sa copine revient, alors il reprend sa lecture d’un œil ; l’autre œil sur leurs cuisses. Maintenant, elles vont partir et, lui, ne se gène plus pour affirmer son regard. Alors, il reste seul avec sa lecture et, ne fait plus semblant…


Réminiscence

Avancée vers le Tonatuihichan
Rencontre avec Thanatos
Lumière vers Eros
Tu te dois de mourir Astaphéan

Aujourd’hui tu n’es que Ishah
Tu ne peux comprendre le rêve
Ainsi que le sommeil
Mais demain morte tu seras

Puisse cette osmose
T’être favorable
Mais seras-tu capable
La mort de voir en rose


Révolte

Les Rails se plaignent car, les falaises, elles ne les voient qu’en express. Les Briques se joignent à la révolte malgré l’interdiction de leur supérieur les Fenêtres. La Pierre refuse de se mêler au conflit ; elle laisse aux Branches et, aux Cheminées le soin de lui conter l’événement. La Grand mère nuage conseille aux Poteaux de rester vigilant. Mais, sous l’envoûtement des Ponts, ils s’en vont contempler le paysage bercé de doux ruisseaux.

Soudain, Les ombres de Ciel sans prévenir bâtissent des barrières. Les quelques caravanes présentes sur les routes s’entrechoquent. C’est la faute des Panneaux qui indiquent n’importe quoi. Les Cabanes profitent de l’instant pour quitter leur Jardins ; les Clochers désertent les Villages. Le Champ d’ordinaire si courtois, dévaste les Parkings. Fait curieux : une véranda se libère de ses Fenêtres et, prend la fuite en compagnie de quelques Luminaires. Ils rejoignent l’entrepôt ou, Tuyaux et Bois prennent l’apéro. Plus tard dans la nuit, l’on peut observer une Parabole s’évincer discrètement de la tutelle des Lotissements.

Au matin, Calme est de retour ; la Verdure parsemée de Jachère et de Ferme ordonne un constat des évènements à Buisson et Roseaux. Alors, le pécheur se réveille retrouvant ses arbres, son écluse et, son chien. Il part en promenade et, enfin, s’assied sur un banc.


Sur la pointe

Ici ou ailleurs, rien ne se passe sinon tout
Rien ne reste, tout est rasé, oublié

Le flot de flotte se déverse inlassablement
Tandis que la sève de leur pauvre vie
Perle péniblement sur leur écorce avive

Ici la rouille est maîtresse et, l’amant figé
Subit encore les assauts du temps
Sur la pointe, ni espoir ni chagrin
Juste la pluie rendant un dernier hommage


Sainte Anne

Une rose incongrue descendait de tes cils
A travers un effluve un tantinet fragile
Un dédale tumultueux autant que capricieux
Pour toi qui un jour devineras les cieux

Une larme limpide de ton œil descendait
D’or ou d’étain nul sauf toi ne le permet
Un sinueux voyage vers l’infiniment petit
Pour toi qui un jour auras besoin d’un ami

De tes mains s’écoulaient des coloris irritants
Que nul ne saurait en être indifférent
Une symbiose naturelle ne saurait définir
Ce que vainement je tente d’écrire


P'tit texte

Il fait jour ces temps-ci, les herbes et végétaux se laissent aller.

Ils se baladent à travers les champs en se tenant la main. Chaque doigt relié l’un à l’autre. Vont vers le ruisseau et contemplent leur bonheur si soudainement apparu. Repartent vers le chemin. Il se dit qu’il est bien content des instants présents. Lui adresse la parole mais ne lui dit que du vent.

Cette brise si soudaine parvient à elle d’une façon si sereine qu’elle se dit qu’elle est heureuse de vivre l’instant présent. Son regard n’est plus qu’un reflet.
Ils ne parlent pas, pas un seul son. Le temps passe, une grenouille croasse, il se réveille et voilà.

Il se dit qu’il ne voudrait plus jamais dormir pour ne plus jamais rêver. Sa femme est la, allongée sur le coté du lit. Si radieuse qu’elle fut, une tache entache son sein.

Rêve éveillé ou, cauchemar réaliste, il sait ce qu’il a fait. Son cœur n’est plus qu’un ramassis de crainte et, de douleur.

Il criât par delà les murs, une brise sortit de sa bouche. Pas un seul son.

Il regarda sa femme inanimée, leva les mains au ciel et, pria Dieux de lui accorder son rêve comme vie.


Silence

Du flot des humeurs survient la peine
Et suinte volontairement par delà les envies
Tandis que toutes paroles restent inlassablement vaines
Le silence s’impose, le silence a mûrit

Voix muette, voix malade, le temps à passé
Ne laissant derrière lui que rouages édentés


Entité Ka

Calme est de nouveaux parmi nous
De notre terre, il scintille de mille sons
Et de notre ciel, tend-il la joue
Pour élucider cette lumineuse perception

Volant parmi des nuages apaisants
Calme s’en retourne vers les siens
Laissant l’ombre de son ame rayonnante
A de très lointain dessein


Klectum

Dans une paisible harmonie
Les âmes vaquent à leurs occupations
Cultivons l’hérésie
En vue d’une éminente révolution

Tu tomberas de Charybde en Scylla
Si tu ne prends pas garde
Les voici, ils sont là
Intrigué tu les regardes

Les instants de ta vie
Garde bien en mémoire
Car là ou tu gis
Il fait intensément noir


La peau

Sentir sa peau encore ferme et vive
Recouvrant si bien nos membres et nos sens
L’un la protégeant l’autre la maltraitant
Par delà des actions aussi diverses qu’elles soient

La sentir nous implorer demandant de l’aide
Quand le mal ce fait quand la douleur s’invite
La sentir nous remercier lors de doux moments
Et nous donne alors joie et envie

La voir s’amenuiser au fil des ans
Et ne pouvant l’aider qu’a s’empirer
La voir se confondre en excuse
Sur les assauts du temps qu’elle ne cesse de subir

Lui accorder ses demandes et ses besoins
L’amour l’espoir le bonheur la tendresse
Lui interdire d’approcher la colère et la haine
La préservant ainsi de tous noirs sentiments

Lui demander tant et n’avoir que si peu
Lorsqu’elle nous dit : « je ne suis que ta peau »
« Je ne peux que cacher ton sang »
« Et flétrir avec le temps »

Un oiseau

L’oiseau a grand ouvert ses yeux
Il vole aux gré des vents indomptables
Et cueille la bise d’un automne malicieux
Et profite de cette blancheur immaculée

L’oiseau a grand ouvert ses ailes
Il ne sent pas son corps se déchirer
Et plonge vers cette curieuse saison
Et rend son ame à l’oiseau Dieu

L’oiseau à grand ouvert la terre
Il converse avec ses amis les vers
Et reste sous terre
Et rêve de son ciel perdu


Une journée

Aujourd’hui c’est ma journée
Tôt ce matin je me suis réveillé
Avec un chat de trop à mes cotés
Il fallait s’en débarrasser
Mais le chat zombie ne voulait pas crever
Alors qu’ais-je fais ? Je l’ais carbonisé

Hélas, ce n’était que le début de la journée

Je m’en vais voir une amie que j’ais beaucoup aimé
Pourtant croyant être accepté
Je me suis envoyé chier
Cela dit en passant je ne veux pas être grossier
Car cette personne je ne peux que la respecter
De toute façon maintenant c’est du passé

Hélas, ce n’était que la moitié de la journée

Revenant chez moi un petit peu excédé
Je me dis : « tiens, j’ais mis du linge à laver. »
Evidemment la machine l’avait bouffé
Ainsi que de rose tout taché
Mes beaux tee-shirt, je peux les balancer
Alors je me suis dit : « j’aurais peut-être du rester couché »

mardi 18 décembre 2007

Un p'tit compteur

Comme le titre le dit, c'est juste un compteur
compteur pour blog

Nos détournements

Alors la on a des détournements fait entres amis avec Olivier et Sebastien. D'ailleurs, moi je n'ai participé qu'au deuxième...Lorsque j'ai vu le premier " Punishment Academy", je les ai motivé pour en faire un deuxième : Vol au dessus d'un nid de coucougnettes.
Il y en a un troisième en cours avec une scène tirée de Retour vers le futur... mais ça traine un peu...
Le premier est plus drole que le deuxieme à mon sens. Mais attention! les deux sont très vulgaires! Oreilles sensibles s'abstenir...
Je vous laisse juger !



Comment éviter les bugs du blog..!

Il s'avère que les sons et les vidéos plantent lorsqu'on regarde le blog en entier. Deja que j'ai eu du mal à insérer un lecteur flash maintenant, faut que ça plante... Enfin bref. Pour que tout fonctionne bien, il faut regarder le blog par les posts précedents... dans les archives..!
Merci de votre compréhension.

samedi 15 décembre 2007

Des vidéos d'un voyage en Renault Express

2005 : 3000 kilomètres en 10 jours avec mon amie Anne Gabory en Renault Express ( dieu ait pitié de son àme... à l'express ) . Direction Amsterdam. Retour en passant par l'Allemagne. A raison de 300 Km pr jour et du lit dans la voiture... Superbe voyage, a refaire dans les pays de l'est..! ( un jour peut-être ) .

Le luxembourg...



En Belgique...



On the road...



On the road again...

dimanche 9 décembre 2007

Ici je montre mes photos... Des toutes premières à celles qui suivèrent... Bien evidement, j'en ai plein d'autres mais, elles ne valent vraiment pas le coup d'être vues ici..!
Voila donc un tri de photos autant argentiques que numériques...